WAGs RETRO. Olivier Rouyer et ses (jolies) poupées.

Avec les filles j'ai un succès fou, hou hou...
A la fin des 70's, Olivier Rouyer est un peu une idole à Nancy avec son copain Platoche. L'effet du gars qui boit « fruité ». Il est beau, musclé et a du tempérament à revendre sur le pré. Tout pour plaire aux filles qui lui collent le train à chacune de ses sorties. Impossible de mettre le nez dehors sans avoir une poupée amourachée aux basques. La rançon de la gloire, sympathique mais quelque peu encombrante, qui donne cependant des idées au Nancéien. « La Rouille » investit dans une boutique de jouets avec ses primes gagnées sur le terrain. Une bonne idée pour inciter les fans à consommer dans son magasin et maximiser les ventes de peluches, nounours et autres doudou. En tous cas une affaire qui roule pour l'international français. Lequel a trouvé un moyen économique, et très écologique, pour échapper à ses supporters. A moins qu'il tienne à tester lui-même la qualité du matériel. Avec le sourire, c'est plus vendeur. Homme d'affaire averti, « La Rouille » devient par la suite propriétaire d'un bar - « Le Pinocchio » - dans sa bonne vieille ville de Nancy. Du comptoir du jouet au zinc, il n'y a pas long finalement. Surtout à trottinette, on dépasse les mobylettes.

Vivement qu'on passe à la trottinette électrique !

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1 Commentaires

  1. La Rouille... Personnalité attachante pleine d'humour. Un des meilleurs consultants télé qui ne se prend pas au sérieux.

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