OSWALDO PIAZZA.
[Interprétez : Oswaldo Piazza aux champignons ou une 4 saisons c'est bon aussi].
Le geste technique :
L'enjambage de panneaux directionnels. A la manière des gauchos qui montent sur leurs bourrins parcourir la pampa, Oswaldo Piazza, fraîchement débarqué de son Argentine natale, connaît le chemin à suivre pour atterrir dans un grand club. Pour lui, la bonne voie c'est Sainté, la Capitale du foot français au milieu des (futurs) débats européens et pas un vulgaire club de banlieue qui joue dans l'ombre des Verts. Lyon mais pas roi sur le pré. Le vrai lion, c'est bien Oswaldo et ses grandes chevauchées depuis le centre de sa défense. Maillot moulant, pectoraux saillants et crinière au vent. Même à genoux devant l'arbitre ou Serge Chiesa, il reste un Grand. Un caractère bien trempé, chaud bouillant comme le Chaudron, à faire pisser les filles dans leur culotte. Qui c'est les plus forts ? Les Verts évidemment. D'ailleurs c'est là-bas, à gauche, parce qu'à droite ils n'ont que le fric et Domenech. Pas trop d'idées donc. Moins sexy aussi.
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