LA PANINI POUR LES NULS. Gerhard Breitenberger.


GERHARD BREITENBERGER
(Le Breitenberger, y a pas d'heure pour en manger).

Pour l'apéro entre amis, le pique-nique en famille, les petits creux de la journée ou encore les déplacements de supporters en bus avant d'aller cramer un fumigène dans le parcage de l'équipe visitée, le Breitenberger de Justin B. est le compagnon idéal. Petit, léger et facile à manier, on peut croquer dedans à toute heure du jour et de la nuit. Forcément indispensable, le Breitenberger c'est le vrai goût du partage, le sens du collectif et la gestion des moments de crise sur le pré ou en dehors. Presque le remède miracle aux crampes d'estomac et divers problèmes d'ordre technico-tactique : au camping ou sur le carré vert, à plusieurs ou seul en loucedé la tête plongée dans le frigo, à la plage ou à la montagne ? Le Breitenberger est partout et ratisse large par sa science du placement, il fait tourner l'équipe ou les esprits chagrins dans les moments de manque. Le moteur qui régale les petites faims et des coéquipiers en rupture d'inspiration. Redoutablement efficace, généreux dans l'effort et constructif dans la gestion des conflits. Le Breitenberger c'est du 100% matière grise mais surtout grasse qui s'accompagne généralement bien avec un petit vin de table... de poker pour l'effectif du Casino Salzburg version Panini Österreichische Bundesliga « Fussball 85 ». La Bundesliga du pauvre pour ceux qui préfèrent les saucisses XXL de Bavière. 

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