Pour Véronique Roy, Renée Delahaye et Ghislaine Souef, le bonheur est dans le pré.
« On ne nait pas femme, on le
devient ». Simone de Beauvoir a plutôt le sens de la
formule pour décrire sa condition et celle de ses concitoyennes.
Mais pour les joueuses du Stade de Reims, mieux vaut en avoir bien
planquées dans le short pour corroborer les propos de la romancière.
Une façon pour nos trois « Totally Spies » à
crampons aiguilles de s'affirmer et revendiquer leur statut, au
risque de voir les détracteurs monter au front, de l'anonyme aviné
hurlant ses saloperies derrière la main-courante au plus mondain des
artistes qui cherche encore l'ouverture sur le terrain de la mixité. « J'ai déjà du mal à suivre avec le vrai foot. Alors avec
les femmes... C'est pas ça qui m'arrangera avec elles ».
Jacques Chazot manie l'humour d'un air maniéré quand il évoque les
danseuses sur le pré. Et pour une fois, Ginola n'est pas visé
directement.
La cible de ses attaques, c'est Véronique Roy, Renée Delahaye et Ghislaine Souef (de gauche à droite sur la photo) qui portent la culotte dans les vestiaires. Sans fard mais avec un joli maillot jaune et noir sur le dos, nos petites abeilles s'évadent de la ruche le week-end pour butiner les pâquerettes de Delaune. Le miel de leur Marie Bonheur (c'est écrit sur la vareuse) pour fuir la routine et vivre libre comme Maya. L'Irlandaise Ann O'Brien, cousine du poète de Leeds United Johnny Giles, tricote ainsi malgré elle en dehors du terrain puisqu'elle est ouvrière dans une firme de vêtements. Sa collègue Ghislaine Souef s'occupe de la paperasse en qualité de secrétaire. De la sténo aux pénos, la capitaine rémoise franchit le pas tous les dimanches à l'heure où Renée Delahaye, étudiante, révise ses leçons tactiques sur le tableau noir. Un peu comme comme leurs idées à la fin de la rencontre en imaginant la reprise du lundi. De quoi faire la gueule en plus de la défaite et Jacques Chazot.
La cible de ses attaques, c'est Véronique Roy, Renée Delahaye et Ghislaine Souef (de gauche à droite sur la photo) qui portent la culotte dans les vestiaires. Sans fard mais avec un joli maillot jaune et noir sur le dos, nos petites abeilles s'évadent de la ruche le week-end pour butiner les pâquerettes de Delaune. Le miel de leur Marie Bonheur (c'est écrit sur la vareuse) pour fuir la routine et vivre libre comme Maya. L'Irlandaise Ann O'Brien, cousine du poète de Leeds United Johnny Giles, tricote ainsi malgré elle en dehors du terrain puisqu'elle est ouvrière dans une firme de vêtements. Sa collègue Ghislaine Souef s'occupe de la paperasse en qualité de secrétaire. De la sténo aux pénos, la capitaine rémoise franchit le pas tous les dimanches à l'heure où Renée Delahaye, étudiante, révise ses leçons tactiques sur le tableau noir. Un peu comme comme leurs idées à la fin de la rencontre en imaginant la reprise du lundi. De quoi faire la gueule en plus de la défaite et Jacques Chazot.
2 Commentaires
A gauche ce n'est pas Anne O'Brien mais Véronique Roy !
RépondreSupprimerC'est toi Véronique ? Je recherche les contacts d'une de ces demoiselles pour une éventuelle interview dans ce blog...
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