Jaïro. Les dents de la mer... sey!
Le jeune homme qui rit aux éclats, le
maillot des Reds sur le dos, en réponse aux conseils prodigués par
le sosie de Jean-Pierre Foucault, c'est Mario Ruben Gonzales
Pierotti, plus connu sous le pseudo Jaïro, ce jeune chanteur
péruvien (argentin en fait) débarqué en France marchant mille
années depuis ses « Jardins du ciel ». Un
tube planétaire qui cartonne au hit-parade et crève le plafond des
ventes de disques au printemps 80 (3 millions de copies vendues en
Europe quand même). Les dents longues comme ça, le crooner-amsud
touche à la gloire mais n'oublie pas de causer football entre « deux
cours de guitare ou de chant classique ». Avant de devenir
un chanteur à succès, Jaïro naît avant tout avec un ballon entre
les jambes, comme la plupart des mômes argentins, et tâte un peu du
haut niveau dans sa jeunesse au poste de 8 ou 10 : « Interior
comme on dit chez nous ». Des souvenirs plein la tête pour
l'enfant au tambour : « Je n'ai jamais pu vivre sans
football. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours tapé dans un
ballon. Très jeune, j'étais rapide et assez adroit, ce qui m'a
permis de gagner ma place chez les juniors d'Atlanta, une équipe de
D.I à Buenos Aires. C'est l'équipe du quartier où j'ai habité
pendant cinq ans avec mes parents ». Presque du Maradona
dans le texte.
Le chanteur populaire n'hésite d'ailleurs pas à nous caser son couplet sur sa rencontre avec la star argentine après son refrain sur les « Bohemios », le surnom de son ancienne équipe : « J'ai fait la connaissance de Diego au cours d'une émission à Buenos Aires. Il s'agissait de réunir les jeunes ambassadeurs de l'Argentine à travers le monde en ce qui concerne les arts, la musique et le sport ». L'occasion de partager en coulisses des idées sur leurs passions communes, la musique et le foot, et tisser quelques liens amicaux : « Nous avons très rapidement sympathisé sur les deux sujets et les deux instruments qui nous enflamment : le ballon et la guitare ». Une manière aussi de noircir un peu plus le carnet d'adresses de l'artiste qui fait copain-copain avec deux autres internationaux, Tarantini et Filhol. D'ailleurs, Jaïro en craque pour le gardien de l'Albiceleste, « un vrai passionné de musique et de variétés. Sa collection de disques est surprenante ». On imagine aisément la discussion animée entre les deux hommes à l'heure du maté, qui dévie parfois sur les joueurs français comme « Platini ou Larios qui deviendra sous peu l'un des meilleurs footballeurs d'Europe ». Un avis comme un autre pour celui qui défend les couleurs du Football Club de l'Alma en compagnie du Dr Huth (le type sur la photo) une fois rentré de ses tournées.
Le chanteur populaire n'hésite d'ailleurs pas à nous caser son couplet sur sa rencontre avec la star argentine après son refrain sur les « Bohemios », le surnom de son ancienne équipe : « J'ai fait la connaissance de Diego au cours d'une émission à Buenos Aires. Il s'agissait de réunir les jeunes ambassadeurs de l'Argentine à travers le monde en ce qui concerne les arts, la musique et le sport ». L'occasion de partager en coulisses des idées sur leurs passions communes, la musique et le foot, et tisser quelques liens amicaux : « Nous avons très rapidement sympathisé sur les deux sujets et les deux instruments qui nous enflamment : le ballon et la guitare ». Une manière aussi de noircir un peu plus le carnet d'adresses de l'artiste qui fait copain-copain avec deux autres internationaux, Tarantini et Filhol. D'ailleurs, Jaïro en craque pour le gardien de l'Albiceleste, « un vrai passionné de musique et de variétés. Sa collection de disques est surprenante ». On imagine aisément la discussion animée entre les deux hommes à l'heure du maté, qui dévie parfois sur les joueurs français comme « Platini ou Larios qui deviendra sous peu l'un des meilleurs footballeurs d'Europe ». Un avis comme un autre pour celui qui défend les couleurs du Football Club de l'Alma en compagnie du Dr Huth (le type sur la photo) une fois rentré de ses tournées.
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