Christine Caron,
vous vous souvenez ? C'est elle qui nageait comme Tarzan lors des J.O
de Tokyo en 1964 (médaille d'argent) et battait le record du monde
du 100m dos en 1966. Une fois la tête hors des bassins, « Kiki »
enlève le bikini pour revêtir la tenue officielle de Fluminense et
causer un peu foot, une passion qu'elle a découverte avec son pilote
de mari Jean Claude Lagniez, champion de France des Rallyes
et grand féru de ballon rond.
« J'ai fait la connaissance de mon mari à l'occasion d'une course, raconte la jolie blonde. Dès les premières paroles que nous avons échangées, il m'a dit – je vous emmène au stade ce soir ! - Il parlait du match avec une telle fougue que j'ai cru qu'il jouait au football aussi ». En fait non, J.C réserve plutôt son talon-pointe pour les pédales de son bolide tout en gardant un œil passionné sur le foot, objet de ses plans drague alors que d'autres s'emmerdent au cinoche ou au resto avec une pouffe. « Le football, c'est sa passion. Il me l'a fait aimer aussi ». Et Christine d'accompagner son kiki dans les tribunes du Parc pour les matches du PSG, et suivre régulièrement les résultats de St-Etienne et l'équipe de France. Son style de joueur préféré ? Kiki n'hésite pas une seule seconde. « Les avants-centres qui jouent dos au but, concède t-elle en fine connaisseuse. Et les attaquants qui plongent dans la surface ». Avis de nageuse convaincue.
Une déformation professionnelle, probablement, qui ne l'empêche pas de nouer des liens dans les vestiaires. Son meilleur pote s'appelle Jean-Michel Larqué, entraîneur du Paris S.G à l'époque, pour lequel elle ne tarit pas d'éloges en usant des métaphores olympiques. « Lui et moi sommes unis comme des anneaux sur le drapeau, confie t-elle aveuglée par le charme de l'ancien vert. Puis Jean-Mi, c'est un mec coule même s'il brasse souvent du vide » dit-elle le sourire en coin. D'accord Kiki, mais on était venu là pour parler foot et non natation ma jolie. Bon bah, salut ma poule.
- « Oui, mais mouillée, hi hi ».
Décidément professionnelle jusqu'aux bout des palmes la sirène.
« J'ai fait la connaissance de mon mari à l'occasion d'une course, raconte la jolie blonde. Dès les premières paroles que nous avons échangées, il m'a dit – je vous emmène au stade ce soir ! - Il parlait du match avec une telle fougue que j'ai cru qu'il jouait au football aussi ». En fait non, J.C réserve plutôt son talon-pointe pour les pédales de son bolide tout en gardant un œil passionné sur le foot, objet de ses plans drague alors que d'autres s'emmerdent au cinoche ou au resto avec une pouffe. « Le football, c'est sa passion. Il me l'a fait aimer aussi ». Et Christine d'accompagner son kiki dans les tribunes du Parc pour les matches du PSG, et suivre régulièrement les résultats de St-Etienne et l'équipe de France. Son style de joueur préféré ? Kiki n'hésite pas une seule seconde. « Les avants-centres qui jouent dos au but, concède t-elle en fine connaisseuse. Et les attaquants qui plongent dans la surface ». Avis de nageuse convaincue.
Une déformation professionnelle, probablement, qui ne l'empêche pas de nouer des liens dans les vestiaires. Son meilleur pote s'appelle Jean-Michel Larqué, entraîneur du Paris S.G à l'époque, pour lequel elle ne tarit pas d'éloges en usant des métaphores olympiques. « Lui et moi sommes unis comme des anneaux sur le drapeau, confie t-elle aveuglée par le charme de l'ancien vert. Puis Jean-Mi, c'est un mec coule même s'il brasse souvent du vide » dit-elle le sourire en coin. D'accord Kiki, mais on était venu là pour parler foot et non natation ma jolie. Bon bah, salut ma poule.
- « Oui, mais mouillée, hi hi ».
Décidément professionnelle jusqu'aux bout des palmes la sirène.
Kiki cherche un trèfle à quatre feuilles. |
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