C.S MEAUX 1979-80
En haut : Gambardella (dir. sportif), Condolo, Pedrotti, Latour, Périchon, Farrabi, Brania, Anziani (ent.).
Au milieu : Bourgeois, Danty, Bacconnier, Kubiak, Djemba.
En bas : Charton, Bernardo, Boulesteix, Oliviera, Kamèche.
L'équipe de la montée en division III avec Ange Anziani, l'oncle de Philippe, aux manettes. Arrivé lors de la saison 1974-75 alors que le club végète en promotion d'honneur, l'entraîneur corse réalise des miracles en Seine-et-Marne et tient une promesse faîte aux dirigeants meldois à la signature de son contrat : hisser le club en troisième division.
Un statut qui correspond mieux aux ambitions du C.S Meaux qui cherche à faire son trou parmi les équipes de la région parisienne, et gravit les échelons un à un. Une ascension fulgurante - champion de promotion d'honneur et 16ème de finaliste de la coupe de France 1975-76, champion de division d'honneur et 32ème de finaliste de la coupe de France l'année suivante, accession à la division IV en 1977-78 - qui relève du pari gagnant pour cet ancien enseignant qui sait s'entourer d'hommes de confiance. Sur le terrain, le patron se nomme Gabriel Latour, ex-pro à Nice, Ajaccio et Avignon. Un duo fusionnel qui marche main dans la main pour un même but: celui de l'équipe adverse. Sur la dernière marche du podium de la division IV, derrière Lille et Abbeville, lors de l'exercice 1978-79, le C.S Meaux est un favori logique pour la montée au coup d'envoi de la saison 1979-80. Une année remarquable pour les Meldois qui se baladent en championnat. 21 victoires, 4 nuls et une seule défaite (contre Beauvais 1-2), un goal-average positif de 77-23, le C.S Meaux accède naturellement à la division III et le stade Corazza de bouillir comme Furiani. Le club accueille d'ailleurs plus tard quelques joueurs sanguins dans ses rangs (Jean-Marie de Zerbi, Joël Cantona, Marc Lévy, Philippe Anziani, Fabrice Moreau, Christophe Desbouillons, un vrai chaud celui-là ...) tout en formant quelques pépites (Francis Llacer, Christophe Déhu et Yohann Pelé pour les plus connus). Sans oublier Franck Leboeuf. Mais lui n'avait déjà pas le niveau. Souvent proche de la montée en division II - l'équipe rate l'accession d'un petit but en 1985 - et après quelques exploits en coupe de France (élimination en 16èmes contre Strasbourg en 1986), le C.S Meaux plonge au départ d'Anziani en 1989. Aujourd'hui le club végète en championnat régionaux et attend des news de Leboeuf !
Un statut qui correspond mieux aux ambitions du C.S Meaux qui cherche à faire son trou parmi les équipes de la région parisienne, et gravit les échelons un à un. Une ascension fulgurante - champion de promotion d'honneur et 16ème de finaliste de la coupe de France 1975-76, champion de division d'honneur et 32ème de finaliste de la coupe de France l'année suivante, accession à la division IV en 1977-78 - qui relève du pari gagnant pour cet ancien enseignant qui sait s'entourer d'hommes de confiance. Sur le terrain, le patron se nomme Gabriel Latour, ex-pro à Nice, Ajaccio et Avignon. Un duo fusionnel qui marche main dans la main pour un même but: celui de l'équipe adverse. Sur la dernière marche du podium de la division IV, derrière Lille et Abbeville, lors de l'exercice 1978-79, le C.S Meaux est un favori logique pour la montée au coup d'envoi de la saison 1979-80. Une année remarquable pour les Meldois qui se baladent en championnat. 21 victoires, 4 nuls et une seule défaite (contre Beauvais 1-2), un goal-average positif de 77-23, le C.S Meaux accède naturellement à la division III et le stade Corazza de bouillir comme Furiani. Le club accueille d'ailleurs plus tard quelques joueurs sanguins dans ses rangs (Jean-Marie de Zerbi, Joël Cantona, Marc Lévy, Philippe Anziani, Fabrice Moreau, Christophe Desbouillons, un vrai chaud celui-là ...) tout en formant quelques pépites (Francis Llacer, Christophe Déhu et Yohann Pelé pour les plus connus). Sans oublier Franck Leboeuf. Mais lui n'avait déjà pas le niveau. Souvent proche de la montée en division II - l'équipe rate l'accession d'un petit but en 1985 - et après quelques exploits en coupe de France (élimination en 16èmes contre Strasbourg en 1986), le C.S Meaux plonge au départ d'Anziani en 1989. Aujourd'hui le club végète en championnat régionaux et attend des news de Leboeuf !
- LA RETRO PHOTO DU C.S MEAUX -
C.S MEAUX 1980 au Parc des Princes.
C.S MEAUX 1982-83
C.S MEAUX 1985-86 (Coupe de France)
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