Daniel Zorzetto a pas mal voyagé durant sa carrière. D'est en Ouest et du Nord au Sud, Dany le rouge a promené sa moustache aux quatre coins de la France. Une manière de bien quadriller le terrain. Défenseur sans vergogne, il entame naturellement son périple à Paris - il y est né le 3 décembre 1953 dans le XIIème arrondissement - au Paris F.C (1972-74) où il joue devant les potes et la famille dans un Parc qui sonne creux les soirs de matches. Las de cette ambiance un peu rasoir, Zorzetto ne tarde pas à émigrer à Troyes pour trimer au T.A.F (1974-78). Il profite de l'occase pour comparer son duvet à celui d'Arnaud Dos Santos, accessoirement s'acheter des fringues dégriffées à bon prix, et faire la promotion pour des marques de chaussettes ou spécialisées pour les enfants au pied marin. Bon prince, Dany met ensuite le cap au Sud pour se la couler douce au pied du Rocher avec le jeune Albert.
A Monaco (1978-81), Zorzetto retrouve le rythme des clap-clap à deux mains pas plus et des affluences confidentielles en tribunes, ce qui ne l'empêche pas d'inscrire la seule ligne à son palmarès. Une coupe de France (1980) ramenée de Paris où l'A.S Monaco déboule en micheline avec ses supporters. Ambiance. Puis la gueule de bois quand il se retrouve à Montpellier (1981-82) pour ramasser les poubelles du gros Loulou. Vexé, Daniel qui aime bien batailler sur le pré file alors dans la Marne au Stade de Reims (1983-85) histoire de siffler quelques bouteilles et buller aussi un peu. C'est bientôt la retraite pour Daniel qui songe à sa reconversion à Beauvais (1985-86) alors qu'il ne l'est pas tant que ça à son poste malgré son âge. Une saison avec Bruno Roux, c'en est trop pour Zorzetto qui quitte l'Oise pour la Seine-Maritime et Rouen (1986-87) lors de sa dernière année pro. Un voyage à la rame en petit bateau comme au bon vieux temps, avant de jeter l'ancre et rester définitivement à quai. Arrivé enfin à bon port, Daniel Zorzetto épouse ensuite une carrière d'entraîneur, à Rouen, puis Beauvais, puis Troyes. En bon voyageur, Dany revisite aussi le temps en quelque sorte.
A Monaco (1978-81), Zorzetto retrouve le rythme des clap-clap à deux mains pas plus et des affluences confidentielles en tribunes, ce qui ne l'empêche pas d'inscrire la seule ligne à son palmarès. Une coupe de France (1980) ramenée de Paris où l'A.S Monaco déboule en micheline avec ses supporters. Ambiance. Puis la gueule de bois quand il se retrouve à Montpellier (1981-82) pour ramasser les poubelles du gros Loulou. Vexé, Daniel qui aime bien batailler sur le pré file alors dans la Marne au Stade de Reims (1983-85) histoire de siffler quelques bouteilles et buller aussi un peu. C'est bientôt la retraite pour Daniel qui songe à sa reconversion à Beauvais (1985-86) alors qu'il ne l'est pas tant que ça à son poste malgré son âge. Une saison avec Bruno Roux, c'en est trop pour Zorzetto qui quitte l'Oise pour la Seine-Maritime et Rouen (1986-87) lors de sa dernière année pro. Un voyage à la rame en petit bateau comme au bon vieux temps, avant de jeter l'ancre et rester définitivement à quai. Arrivé enfin à bon port, Daniel Zorzetto épouse ensuite une carrière d'entraîneur, à Rouen, puis Beauvais, puis Troyes. En bon voyageur, Dany revisite aussi le temps en quelque sorte.
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