Pour un peu Roberto Jaime Zywica - qui est Argentin comme son nom ne l'indique pas vraiment - aurait pu jouer dans les Fous du stade avec les Charlots. En effet, Bob le moustachu aime l'humour potache et les bonnes farces à la viande. Faut dire que lorsqu'on a la tête de Lee Hazlewood, on peut pas trop faire autrement !
Né d'un père qui bosse dans une fabrique de confection de draps, qu'il pique en cachette le soir pour les mettre sur la tronche et jouer les fantômes dans le but de coller la frousse à sa sœur, cet éternel étudiant (il a fait des études commerciales) n'en rate pas une pour faire des blagues à tabac. C'est lui qui l'affirme, Bobby la pointe d'humour « ...[n'est] serieux que lorsqu'[il] dort ». Ou alors il pense au cul. Et comme il n'est pas souvent couché, les journées ont tendance à être plutôt longues avec lui. Formé à River Plate, passé ensuite à Gimnasia La Plata, Roberto Zywica déboule à Reims à la fin de l'année 1971 pour y retrouver son compère et ami Delio Onnis, arrivé quatre mois plus tôt du côté du stade Auguste Delaune. Il reste en Champagne jusqu'en 1974 où il ne fait pas trop de bulles d'ailleurs. Trop pris par les conneries qu'il invente et son rôle d'amuseur public comme il aime se définir. Une soixantaine de matches sous le maillot champenois, peu de buts, et voilà Roberto qui prend la route de Troyes. Zywica invente ainsi le jeu des 100 bornes (la distance entre Reims et Troyes) moins populaire par contre que son concurrent que s'arrachent les familles à l'époque.
Mais pour lui, c'est le début de la lose dans le championnat de France. Il reste une saison dans l'Aube (1974-75) ponctuée d'apparitions très éparses. Pas digne de faire le T.A.F, les dirigeants troyens le cèdent à l'U.S Toulouse. Le comique-troupier débarque chez le rival du Téfécé à l'été 1975 et s'en va en fin de saison. Il termine son périple français en Corse, au Gazelec Ajaccio, pour tenter de dérider les locaux avec son humour de cabaret (1976-77). Après ça, il est temps alors pour Roberto de rentrer au pays, histoire de reconquérir son peuple avec ses blagues et sa bonne humeur qu'il traîne d'abord au Club Atlético Old Boys. Un contrat de trois ans avant de rejoindre Banfield pour deux saisons et terminer à Atlanta où il termine sa carrière à 35 ans avant d'entamer sa reconversion dans la chansonnette.
Né d'un père qui bosse dans une fabrique de confection de draps, qu'il pique en cachette le soir pour les mettre sur la tronche et jouer les fantômes dans le but de coller la frousse à sa sœur, cet éternel étudiant (il a fait des études commerciales) n'en rate pas une pour faire des blagues à tabac. C'est lui qui l'affirme, Bobby la pointe d'humour « ...[n'est] serieux que lorsqu'[il] dort ». Ou alors il pense au cul. Et comme il n'est pas souvent couché, les journées ont tendance à être plutôt longues avec lui. Formé à River Plate, passé ensuite à Gimnasia La Plata, Roberto Zywica déboule à Reims à la fin de l'année 1971 pour y retrouver son compère et ami Delio Onnis, arrivé quatre mois plus tôt du côté du stade Auguste Delaune. Il reste en Champagne jusqu'en 1974 où il ne fait pas trop de bulles d'ailleurs. Trop pris par les conneries qu'il invente et son rôle d'amuseur public comme il aime se définir. Une soixantaine de matches sous le maillot champenois, peu de buts, et voilà Roberto qui prend la route de Troyes. Zywica invente ainsi le jeu des 100 bornes (la distance entre Reims et Troyes) moins populaire par contre que son concurrent que s'arrachent les familles à l'époque.
Mais pour lui, c'est le début de la lose dans le championnat de France. Il reste une saison dans l'Aube (1974-75) ponctuée d'apparitions très éparses. Pas digne de faire le T.A.F, les dirigeants troyens le cèdent à l'U.S Toulouse. Le comique-troupier débarque chez le rival du Téfécé à l'été 1975 et s'en va en fin de saison. Il termine son périple français en Corse, au Gazelec Ajaccio, pour tenter de dérider les locaux avec son humour de cabaret (1976-77). Après ça, il est temps alors pour Roberto de rentrer au pays, histoire de reconquérir son peuple avec ses blagues et sa bonne humeur qu'il traîne d'abord au Club Atlético Old Boys. Un contrat de trois ans avant de rejoindre Banfield pour deux saisons et terminer à Atlanta où il termine sa carrière à 35 ans avant d'entamer sa reconversion dans la chansonnette.
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