Danois et Soviétiques ont en commun le goût de (se) coller de bonnes piquettes en ce début de mondial mexicain. C'est un peu dans leur nature ceci dit. Une bonne rincée et hop, à l'assaut de Messico 86 (Danois et Soviétiques ont du mal à prononcer Mejico...). Chacune des deux équipes réussit l'exploit d'inscrire six buts en seul un match, lors du 1er tour. L'URSS ouvre le chemin devant la Hongrie. Les temps sont vraiment durs pour la formation magyare. Plus rien dans cette équipe ! Quant aux Soviets, dont l'ossature est essentiellement composée de joueurs du terrible Dynamo Kiev (qui a torpillé l'Atletico Madrid à Lyon en finale de la C2 par 3 à 0), ils se baladent littéralement et dominent de la tête et des épaules le groupe C dans lequel on retrouve aussi la France). A priori, la grosse cote du Mundial 86.
Le Danemark, qui a déjà scotché les Écossais (purée, elle est pas mal celle-là !) lors de son match d'entrée dans la compétition monte, elle, en régime lors de la rencontre suivante qui l'oppose à l'Uruguay. Entre les " ouilles " et les " aïe " puis quelques marrons dans la poire, les Danois trouvent le moyen de scorer six pions dans les cages de la Celeste, dans une partie marquée par l'expulsion de Batista, charcutier de formation, dès la 1ère minute de jeu. Un record établi par l'arbitre français Joël Quiniou. Yeah Jojo ! En battant l'Allemagne ensuite, le Danemark s'impose comme un autre outsider de la compétition, ayant remporté toutes ses rencontres du 1er tour.
Le Danemark. Une sacrée horde...
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