ESPANA 82 - FINALE
- 11 juillet 1982 -
Estadio Santiago Bernabéu, Madrid. 90.000 spectateurs.
Italie bat Allemagne : 3-1 (0-0).
Arbitre Mr Arnaldo Coelho (Brésil).
Buts :
Rossi (56èm), Cabrini (68ème), Altobelli (81ème) pour l'Italie. Breitner (83ème) pour l'Allemagne.
Remplacements :
Graziani puis Altobelli (7ème) puis Causio (88ème) pour l'Italie. Dremmler par Hrubesch (62ème), Rummenigge par Hansi Müller (68ème).
ITALIE : Zoff – Bergomi, Cabrini, Collovati, Gentile, Scirea – Oriali, Tardelli, Conti – Graziani, Rossi. Entraîneur : Enzo Bearzot.
ALLEMAGNE : Schumacher – Briegel, K.H Förster, Stielike, Kaltz – B. Förster, Dremmler, Breitner – K.H Rummenige, Fischer, Littbarski. Entraîneur : Jupp Derwall.
ITALIA 82
De g. à d. : Zoff, Graziani, Conti, Collovati, Scirea, Gentile, Bergomi, Rossi, Oriali, Cabrini, Tardelli.
LE STADE
Estadio Santiago Bernabéu
LES EQUIPES
LE MATCH EN PHOTOS
Duels italo-germaniques.
Paolo Rossi ouvre le score.
Alessandro Altobelli assomme la Mannschaft.
La joie italienne.
Dino Zoff (avec Juan Carlos et Claudio Gentile).
Enzo Bearzot porté en triomphe, l'Italie parade.
Paolo Rossi, l'homme du mundial 82.
- ITALIA CAMPIONE DEL MONDO -
1 Commentaires
J'y était . A quelques places du meilleur buteur de tous les temps (et qui n'est pas près d'être battu) Just Fontaine . Encore sous le choc du match de Seville , pas difficile de deviner vers quelle équipe allait ma préférence ! Et pourtant cette équipe d'Italie qui revenait du diable vauvert (une qualification au 1er tour au bénéfice d'un but marqué de plus que le Cameroun)je l'avait détestée d'avoir sorti les Brésiliens au 2e tour . Le Brésil 82 c'est du rêve footballistique à l'état pur , peut-être meilleurs que leurs aînés de 58 et 70 . 2 bémols leur gardien Waldir Peres et leur avant-centre Serginho mais pour ce qui est du reste : Socrates Zico Falcao Junior Eder et consorts c'est ce qui fait de mieux . J'ai eu l'impression de retrouver la Hollande de 1974 (dans un style différent mais dans la façon d'imposer son style à son adversaire) . Mais Paolo Rossi avait décidé de se réveiller le 5 juillet 1982 . 3 buts et le rêve est fini . 3 jours après l'Allemagne me rendait à nouveau triste . Une finale France-Brésil en 1982 aurait été grandiose . Ceci dit l'Italie sur ses matches contre l'Argentine , le Brésil , la Pologne et la RFA mérite amplement sa 3e étoile . Perso j'étais ravi me trouver au milieu de tifosi déchainés (il y'avait aussi quelques Brésiliens qui un peu trop confiant avaient acheté leurs billets apparemment ils n'étaient pas rancuniers) .
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