La grosse cylindrée de JACKY NOVI.


« J'aime les routes bleues, les routes Citroën ». C'est à cause de cette pub à la con que Jacky Novi, qui n'aime ni Séguéla, ni Julien Clerc et encore moins Citroën, a opté pour une autre marque. « Une 504 Ti, une berline » lâche sans motivation le Strasbourgeois en novembre 77. Une 504 Ti Le Luron ? Bon là, on vanne un peu mais c'est pour détendre l'atmosphère, parce que les bagnoles, Auto-Moto 1 et Jean-Pierre Jarier, Jacky est comme le tube des Ablettes, il s'en fout carrément. Jacky a toujours le temps finalement. Le style chauffeur du dimanche un poil pragmatique, le côté force tranquille. « La voiture est pour moi un outil de travail, sans plus, explique l'ancien parisien au feu rouge. J'ai deux gosses, cela vous fait réfléchir au moment de mettre le pied sur le champignon ». Puis de démarrer et de rester coincé en seconde pendant tout le trajet. Un rythme de croisière à l'image de notre pilote du jour. « Je suis un conducteur tranquille, attentif, concède Jacky alors qu'une mamie à vélo le double par la droite, et irritable seulement quand nous avons perdu ». Ce jour-là, son équipe a pris une taule. C'est la vieille qui a morflé. Purée, on avait pas l'air con nous après avec notre rubrique.

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